J’aime le jeu, l’amour, les livres, la musique, La ville et la campagne, enfin tout, Il n’est rien qui ne me soit souverain bien, Jusqu’au sombre plaisir d’un cœur mélancolique. Jean de La Fontaine

dimanche 3 janvier 2016

Solution de la charade Napoléon

 Sirop d’écorce d’orange amer

Mon 1er : Sire !
Mon 2ème : Oh des corses !
Mon 3ème : Dors ange !
Mon 4ème : Ah mère !



Retour à Ecoute s'il pleut

mardi 28 juillet 2015

Ici c'est clos...


La suite ici !


Que trouve t-on dans les abris sous roche des environs des Eyzies ?

Non, pas des anguilles, j'en ai marre de vos réflexes imbéciles de joueurs de mots inanes.
 
On y trouve une forme de sérénité. OK ?


Mais ça se mérite. Faut se payer des talus inclinés.

























Après un peu de crapahutage, le passage dans un boyau poussiéreux à 4 pattes, on atteint assez vite une terrasse splendide avec vue sur la mer, à marée basse.




















Sur la droite, on aperçoit les Eyzies.
























Il y a trois cavités donnant sur cette plateforme. La seconde est la plus profonde.

















































Pause à Cap Blanc. 8 km au sud des Eyzies. Un abri sous roche montrant des sculptures du néolitihique (- 15000 ans, Magdalénien). Voilà qui nous change des ceintures rupestres et des stalagmitres.















































Qu'il vous soit seulement permis d'envisager que cette jolie fille a été inhumée au pied de l'abri, et donc des chevaux, qu'elle avait à ses côtés des racloirs qui peuvent avoir servi à la taille d'iceux, qu'on peut donc envisager que cette donzelle a été pour quelque chose dans leur réalisation et que le choix de l'emplacement de sa sépulture peut être une forme d'hommage à ses qualités d'artiste.
Pourquoi 9 fois sur 10, les représentations picturales contemporaines d'hommes peignant les parois en fond de cavité présentent des virilitudes ?
Hein ?

En tout état de cause, celle-ci avait dans les 35 ans, et présentait une denture sans carie... Position phoetale caractéristique de l'époque.

















Les reliques présentées sont des moulages, les américains nous ont piqué (acheté) les vrais reliefs.

Les photos de l'intérieur de l'abri ne sont pas de moi, parce que ces neuneus, ils m'interdirent que j'en prisse.


Fin de parcours à l'abri du fort rouge, qu'en d'autres lunes nous fit découvrir l'ami Pierre. 4 niveaux d'abris sous roche, parfois assez profonds pour qu'on parle de cavités, empilés comme des HLM néolithiques. On est 50 mètres en surplomb au-dessus de la Vézère, mais ça vaut mieux, car si on était en dessous, on parlerait de souplomb, et c'est tellement ridicule que ça n'existe pas.


























On peut observer filoutement des canoeistes, qui rament comme des vaches ou bronzent leur pilule comme des harengs pas encore saurs mais ça chauffe, comme qui dirait.
C'est un lieu privé, on n'a pas le droit d'entrer, ok ? Faut juste écarter le grillage qui barre symboliquement l'entrée de ce petit paradis.











































Tous ceux qui souhaitent découvrir ces lieux magiques peuvent demander, j'explique tout bien en y adjuvant un village abandonné sous d'autres abris très impressionnants, dans la même proximité des Zeillezies. Autant de lieux que si vous ne savez pas y aller, ben, vous n'irez jamais.




lundi 27 juillet 2015

Le Requiem de Fauré

Un enregistrement à pratiquement 0 % de cathareux... (Les spectateurs qui toussent pendant l'enregistrement du concert). C'est rare.

Une des rares musiques venues tout droit d'outre-tombe (c'est moi qui le dis, vous pouvez me croire puisque je n'y connais rien, car n'y étant pas allé, je n'en suis pas encore revenu). Rien de grandiloquent comme dans celui de Mozart, une ambiance sereine, le chant doux-amer intime d'une déambulation solitaire dans un paysage de neige. Selon je. Ne croyez pas tout ce qui se dit sur internet !